

















Marilyn Monroe, Barbara Streisand, Grace Kelly...autant d'icône de légende dont les images originales ont été colorisées et rehaussées par le placement de pierre en crystal donnant vie et relief, créant ainsi des oeuvres très contemporaines.


Exposition " Chrystel in Wonderland














Joachim LOMBARD
Exposition de photographies noir et blanc
du 1er au 31 mars


GOLDEN YEARS - ROCK 70/80 - Paul Coerten
Exposition du 1 au 30 septembre






Philippe Berkenbaum
Journaliste dans le sang, photographe dans l'âme, voyageur au fond des tripes. Guidé par les rencontres et la découverte d'autres cultures, Philippe Berkenbaum parcourt le monde pour témoigner de sa diversité. « J'essaie de restituer d'autres réalités quotidiennes à travers des portraits in situ et des paysages, sans artifice ni mise en scène. J'aime raconter des histoires, entre récit de voyage et tableau impressionniste. » C’est sa vision du monde comme il va, les yeux dans les yeux. Ses photos s'exposent au gré des opportunités, ses reportages paraissent dans différents magazines belges.
Bio express
· Naissance à Bruxelles
· Etudes de journalisme à l’ESJ Lille
· Journaliste et chef de service (Monde, Belgique) au quotidien Le Soir
· Journaliste et photographe indépendant depuis 2010 pour différents magazines belges
· >100 pays visités
www.philberki.be
THIERRY JACQUEMIN EXPOSE
du 3 au 30 novembre 2023
"Passerelles"










La Visual Gallery est ravie de vous inviter à "L’IA fait son show ‘’ .
Une 1ère en Belgique, une exposition exclusive de images créées à 100 % par des intelligences artificielles. Plongez dans un monde visuel innovant où chaque image repousse les limites de la créativité technologique.
Qu’on le veuille ou non, l’IA fait partie des nouveaux modes de création d’images. Parlons-en autour d’une exposition avec des artistes
qui l’utilise au quotidien…
Artistes:
Juan Kiti
Frédéric Reddmann
Dominique Van Eeckhoudt
Alain Jean




L'exposition « Paysages en Résonance : Entre Néo-Romantisme et Estampes Japonaises » met en scène les œuvres de deux photographes contemporaines, inspirées par des univers esthétiques distincts mais profondément connectés : le romantisme et les estampes japonaises. Paloma Cabeza et Idalie de Werszowec Rey présentent une exploration riche et variée des paysages européens.
La série "Scenes for imaginary films" présentée par Paloma Cabeza est inspirée de la dramaturgie des peintres romantiques du XIXe siècle, notamment celle de Caspar David Friedrich. Ses paysages mystérieux et introspectifs ont guidé son regard. Elle a cherché à moderniser ces scènes de tableaux romantiques en les ancrant dans le présent, révélant ainsi que les mêmes émotions et atmosphères peuvent se retrouver dans des paysages contemporains. Les contrastes et les décors réels créent des tableaux vivants, empreints de mystère cinématographique. A travers des paysages énigmatiques les clichés exposés capturent des instants suspendus entre réalité et fiction comme des fragments de films jamais tournés.
La série de photographies d'Idalie de Werszowec Rey est inspirée de l'esthétique des estampes japonaises. On y retrouve les vues plongeantes et le jeu des plans de Hiroshige ainsi que l'ambiance particulière de Hasui Kawase. Séduite par les roches des montagnes de Catalogne ou encore le bord de mer du Finistère, elle leurs applique l'approche des estampes japonaises tout en restant fidèle à son univers personnel.
Cette exposition met en lumière la manière dont les artistes peuvent s'inspirer de traditions culturelles différentes pour créer des œuvres uniques et inspirantes. En explorant les thèmes du néo-romantisme et des estampes japonaises, l'exposition célèbre la diversité et la beauté des paysages naturels et citadins. Les visiteurs seront amenés à apprécier la richesse de deux traditions artistiques différentes mais partageant l'art de la mise en scène.
En décembre la Visual Gallery exposera
KOEN DEMYTTENAERE
Vernissage le vendredi 6 décembre de 17 à 20 h










Un regard sur l’âme
Koen Demyttenaere
1. Pourquoi en noir et blanc ?
Le blanc est un mélange de couleurs, le noir en est l’absence. ‘Black and white are the colors of photography. To me, they symbolize the alternatives of hope and despair to which mankind is forever subjected…There is one thing the photograph must contain, the humanity of the moment’ (Robert Frank). La photo en noir et blanc possède son propre langage et sa propre grammaire, elle apporte du ‘caractère’ à la photographie en jouant des ombres, des lumières et des contrastes et de la texture: la couleur peut desservir le message et cette distraction peut cacher l’essence même de l’expression des personnes (imperfections, rides, regards, textures, ombres…). ‘When you photograph people in color, you photograph their clothes. But when you photograph people in black and white, you photograph their souls’ (Ted Grant); en effet, les couleurs peuvent voiler. Le noir et blanc dé-voile mieux et révèle mieux ce qui se présente, ce qui émerge, ce qui s’offre à ma vue. ‘Color is descriptive. Black and white is interpretive’. (Elliott Erwitt). Les couleurs sont remplacées par des intensités d’ombres, couvrant certaines choses tout en révélant d’autres; ce flou ouvre justement vers l’interprétation : quand tu regardes une photo en noir et blanc, sur quoi tu focalises ? Le noir et blanc se démarque plus de la foule du monde coloré. Le noir et blanc est à mon avis plus émotif (et pas du tout triste pour autant), plus dramatique, plus mystérieux, plus intemporel. ‘Le noir et blanc a toujours l’air moderne, quelle que soit la signification de ce mot’ (Karl Lagerfeld). Le noir et balance utilise un langage direct, sans bavure et impose une force que la couleur permet moins. Le noir et blanc se trouve entre discrétion et présence, entre douceur et puissance. Le noir et blanc (plus que la photo en couleurs) permet un ‘second regard’ : même s’ il y a une intention à l’origine de toute image, ça reste toujours possible d’y projeter un deuxième regard, qui la re-sémantise …transformant l’image, et produisant un discours.
2. Pourquoi ‘street photography’ ?
‘Fotogeniek zijn heeft weinig te maken met hoe je eruit ziet, het heeft meer te maken met wat iemand uitstraalt, een bepaalde emotie en lichaamstaal, iets dat intrigeert’ (Dana Lixenberg), sauf si on prend la définition biologique du ‘photogénique’ : un organisme émettant de la lumière…un regard, un language corporel qui degagent de la lumière…
Regarder une photo n’est pas regarder un fait, elle encourage à voir quelque chose qui ne se montre pas : l’aura du sujet, la profondeur de l’être, ou peut-être même un aperçu de l’âme. ‘De même qu’il n’y a pas deux visages identiques, il n’y a pas non plus deux regards semblables’(Matthieu Raffard).
En regardant, on se montre… en photographiant, on se montre davantage ... et en exposant on s’expose encore plus au regard de l’autre (c’est cet inconfort que j’ai ressenti nettement plus que prévu les derniers mois en préparant cette expo). ‘If each photograph steals a bit of the soul, isn’t it possible that I give up pieces of mine every time I take a picture?’ (Richard Avedon)
Dans la photographie de rue ‘on ‘shoote’ une image, on ‘capture’ un sujet’ …y a-t-il un grain d’agressivité ou de violence cachée dans l’acte (mon acte) photographique ? ‘Nous savons tous ce que cela fait d’être objet du regard insistant d’autrui – nous devenons la proie. A l’inverse, nous savons tous ce que cela fait d’épier quelqu’un à distance – nous devenons (partiellement) prédateur’ (Ishiuchi Miyako).
Pour combien de temps ‘la photographie de rue’ pourra t-elle d’ailleurs encore survivre ? Dans l’espace public, on acceptait/accepte l’idée dephotographier librement aussi longtemps que l’image n’est pas dégradante pour le sujet…mais pour combien de temps encore (avec l’abondance de ‘privacy rules’ et malgré l’abondance de caméras de surveillance dans toutes les rues)….?
3. Pourquoi faire de la (street) photography comme psy ?
On a tendance à penser que le psy privilégie l’écoute et que l’ouïe est son instrument dominant. Je pense que c’est faux : la vue et le regard, le langage corporel et l’accordement ou l’alignement non-verbal qui en résultent sont au moins aussi communicatifs et significatifs. C’est pourquoi les consultations en zoom ne peuvent jamais avoir la même intensité. Souvent, mon regard photographique cherche justement ceregard de l’autre et j’espère que ce regard me parle alors et te parlemaintenant. La spontanéité et l’immédiateté de la photographie de rue collent bien à ma personne : intuition, curiosité, gourmandise, croquer la vie à pleines dents, rechercher les sensations fortes ne me sont pas étrangers et précèdent parfois ma réflexion. Souvent, mon regard boit souvent ce qu’il voit. ‘L’oeil est la lampe du corps’ (Bible). Le noir et blanc apaise et m’aide également à me protéger du monde trop plein de distractions. La photo me sert également comme support de mémoire quand le vécu a défilé trop vite. La photo permet de mémoriser une image alors qu’elle a déjà disparue, elle permet une deuxième ‘lecture’ et une deuxième ‘digestion’ des stimuli. Avoir un regard interessé, différent, curieux, distinct, dissemblable, hétérogène m’a toujours guidé dans mon travail scientifique et clinique. Accompagner les patients dans le changement d’objectifs permettant un autre regard sur leur vécu estd’ailleurs un élément essentiel de mon travail clinique.


Miroir d'une époque : les portraits de Norbert Ghisoland
Visual Gallery a le plaisir de vous inviter à découvrir l'exposition "Miroir d'une époque : les portraits de Norbert Ghisoland", un événement incontournable du Parcours Photo Brussels Festival.
Plongée dans l'univers fascinant de l’un des photographes belges les plus emblématiques, cette exposition met en lumière des portraits intemporels capturant avec une rare intensité la vie quotidienne et les âmes du XXe siècle. Les œuvres de Norbert Ghisoland, empreintes de réalisme et de poésie, offrent une véritable fenêtre sur une époque, entre tradition et modernité.
Événements spéciaux :
Samedi 25 janvier, de 15h à 16h : Prise de parole exclusive de l'arrière-petit-fils de Norbert Ghisoland. Une occasion unique de découvrir l’histoire familiale derrière ces portraits saisissants et d’en apprendre davantage sur la vie et le travail du photographe.
Dimanche 2 février : De 15h à 16h30, 4 à 5 poètes viendront déclamer des poèmes spécialement écrits en s’inspirant des photographies de Norbert Ghisoland. Une performance poétique inédite qui prolongera l’émotion et la réflexion suscitées par l’exposition.
Vernissage : Jeudi 30 janvier à partir de 18h. Un moment privilégié pour échanger autour de l'œuvre de ce maître du portrait et célébrer la richesse de l'art photographique.
Informations pratiques :
Lieu : Visual Gallery ( Rue de Tervaete 21-23 à 1040 Etterbeek)
Date : du 20 janvier au 23 février 2025
Heures d’ouverture : Lundi, mardi, jeudi de 9h30 à 18h et le vendredi de 9h30 à 16h30
Entrée : Entrée libre
Contact : Micheli Zahara
info@zlab.be - 0477886122
Nous vous attendons nombreux pour célébrer cette exposition exceptionnelle dans le cadre du Photo Brussels Festival et pour ces moments forts dédiés à la mémoire, à l’art, et à la poésie.